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17 octobre 2013

*Imaginez votre couverture Lisez les devises. Que

*Imaginez votre couverture

Lisez les devises. Que nous indiquent-elles sur la personnalité de leurs auteurs ?

« Qui s’y frotte s’y pique » Le roi Louis XI

Il est sage.

« Diviser pour régner »  L’homme politique italien Machiavel

Il est stratège.

« Que sais-je ? » Le philosophe Michel de Montaigne

Il est réfléchi.

« Ego, Hugo » L’écrivain Victor Hugo

Il est egocentrique.

« J’aime qui m’aime » L’écrivain Alexandre Dumas

Il est égoïste.

 « Comprendre et ne pas juger » L’écrivain Georges Simenon

Il est tolérant.

« Voler sans jamais atterrir » Le peintre Max Ernest

Il est rêveur.

 

Ma devise

« Sans amour, on n’est rien »

 

Mon blason

 

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Le titre de mon autobiographie

« Qui suis-je ? »

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17 octobre 2013

*J’aime… je n’aime pas La mère d’Amélie, Amandine

*J’aime… je n’aime pas

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La mère d’Amélie, Amandine Fouet, institutrice originaire de Gueugnon, a toujours été d’une nature instable et nerveuse. Amandine Poulain n’aime pas : Avoir les doigts plissés par l’eau chaude du bain. Être par quelqu’un qu’elle n’aime pas, effleurée de la main. Avoir les plis des draps imprimés sur la joue le matin. Amandine Poulain aime : Les costumes des patineurs artistiques sur TF1, faire briller le parquet avec des patins, vider son sac à main, bien le nettoyer, et tout ranger enfin.

Parfois, le vendredi soir, Amélie va au cinéma.

Voix d’Amélie : « J’aime bien me retourner dans le noir et contempler le visage des autres spectateurs… Puis j’aime bien repérer le petit détail que personne ne verra jamais…par contre, j’aime pas dans les vieux films américains, quand les conducteurs ne regardent pas la route.

Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain, film de Jean Pierre Jeunet, 2001

Quels traits de caractère révèlent les goûts et les dégoûts d’Amandine et d’Amélie ?

Amandine : Elle est propre, ordonnée, soigneuse, pointilleuse.

Amélie : Elle est observatrice, intelligente, curieuse.

 Présentez cinq choses que vous aimez et cinq choses que vous n’aimez pas.

-        J’aime regarder la pluie tomber par ma fenêtre.

-        J’aime me couvrir avec beaucoup de draps quand il fait froid.

-        J’aime regarder la lune et les étoiles.

-        J’aime m’assoir sous les arbres en lisant un livre.

-        J’aime regarder le sourire d’un enfant.

 

-        Je n’aime pas marcher sous le soleil.

-        Je n’aime pas que ceux que j’aime pleurent.

-        Je n’aime pas me réveiller au milieu de la nuit.

-        Je n’aime pas être seule dans un lieu où il y a beaucoup de gens.

-        Je n’aime pas oublier des choses importantes.

17 octobre 2013

*Je me souviens… Toutes les images disparaîtront.

*Je me souviens…

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Toutes les images disparaîtront.

le type dans une publicité au cinéma pour Paic Vaisselle, qui cassait allègrement les assiettes sales au lieu de les laver. Une voix off disait sévèrement «  ce n'est pas la solution! »  et le type regardait avec désespoir les spectateurs, «  mais quelle est la solution ? » 
la plage d'Arenys de Mar à côté d'une ligne de chemin de fer, le client de l'hôtel qui ressemblait à Zappy Max 
Annie Ernaux, Les Années, Gallimard, 2008

 

Je me souviens que l’une des premières fois que je suis allé au théâtre ma cousine s’est trompée de salle – confondant l’Odéon et la Salle Richelieu – et qu’au lieu d’une tragédie classique, j’ai vu l’Inconnue d’Arrasd’Armand Salacrou.

Je me souviens de la Cinémathèque de l’avenue de Messine.

Je me souviens de la mode des chemises noires.

Je me souviens que j’avais commencé une collection de boîtes d’allumettes et de paquets de cigarettes.

Je me souviens de « Dop Dop Dop, adoptez le shampooing Dop. »

Georges Perec, Je me souviens, Hachette, 1978

 

Utilisez ce procédé. Présentez les cinq premiers souvenirs qui vous viennent à l’esprit.

- Je me souviens de la première fois que je suis allée à la plage. J’avais peut-être cinq ans. Je me rappelle que j’avais peur de la mer.

-Je me souviens que ma mère m’a appris à lire. Elle m’a acheté un petit livre et elle me donnait des leçons chaque après-midi.

-Je me souviens de la première fois que j’ai joué aux mots croisés. J’avais environ 8 ans. Mon père et moi, nous avons trouvé ce jeu au journal et nous avons joué toute l’après-midi ensemble.

-Je me souviens que quand j’étais petite, mon père et moi, nous achetions des pupusas le vendredi soir. Je me rappelle que j’ai aimais ces pupusas. Je garde un bon souvenir de ce temps-là.

-Je me souviens du tremblement de terre de 2001. J’étais avec ma sœur et mon père. Nous allions vers la plage et nous étions dans une station-service. Je me rappelle que nous ne sommes plus allés à la plage et que j’étais fâchée parce que je ne comprenais pas ce qui venait de se passer.

17 octobre 2013

*Premières lignes Je me trouvais ce matin, 16

*Premières lignes

 

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Je me trouvais ce matin, 16 octobre 1832, à San-Pietro, in Montorio, sur le mont Janicule, à Rome. Il faisait un soleil magnifique ; un léger vent de sirocco à peine sensible faisait flotter quelques petits nuages blancs au-dessus du mont Albano ; une chaleur délicieuse régnait dans l’air, j’étais heureux de vivre. 

Je me suis assis sur les marches de San Pietro et là j’ai rêvé une heure ou deux à cette idée : je vais avoir cinquante ans, il serait bien temps de me connaître. Qu’ai-je été, que suis-je, en vérité je serais bien embarrassé de le dire.

Le soir en rentrant assez ennuyé de la soirée de l’ambassadeur je me suis dit : je devrais écrire ma vie, je saurai peut-être enfin, quand cela sera fini, dans deux ou trois ans ce que j’ai été, gai ou triste, homme d’esprit ou sot, homme de courage ou peureux, et enfin au total heureux ou malheureux.

Stendhal, Vie de Henri Brulard, écrit en 1835-1836, publié en 1890.

 

Sin título

 

Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi.

Moi seul. Je sens mon cœur et je connais les hommes. Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre.

Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1781

 

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Je suis née à quatre heures du matin, le 9 janvier 1908, dans une chambre aux meubles laqués de blanc, qui donnait sur le boulevard Raspail. Sur les photos de famille prises l’été suivant, on voit de jeunes dames en robes longues, aux chapeaux empanachés de plumes d’autruche, des messieurs coiffés de canotiers et de panamas qui sourient à un bébé : ce sont mes parents, mon grand-père, des oncles, des tantes, et c’est moi. Mon père avait trente ans, ma mère vingt-et-un, et j’étais leur premier enfant. Je tourne une page de l’album ; maman tient dans ses bras un bébé qui n’est pas moi ; je porte une jupe plissée, un béret, j’ai deux ans et demi, et ma sœur vient de naître.

Simone de Beauvoir, Mémoires d’une jeune fille rangée, Gallimard, 1958

 

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Un jour, j’étais âgée déjà, dans le hall d’un lieu public, un homme est venu vers moi. Il s’est fait connaître et il m’a dit :

« Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belle maintenant que lorsque vous étiez jeune, j’aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté. »

Je pense souvent à cette image que je suis seule à voir encore et dont je n’ai jamais parlé. Elle est toujours là dans le même silence, émerveillante. C’est entre toutes celle qui me plaît de moi-même, celle où je me reconnais, où je m’enchante.

Très vite dans ma vie il a été trop tard. À dix-huit ans il était déjà trop tard. Entre dix-huit ans et vingt-cinq ans mon visage est parti dans une direction imprévue. À dix-huit ans j’ai vieilli.

Marguerite Duras, L’Amant, Les Éditions de Minuit, 1984

 

Peut-on comprendre pourquoi chaque auteur a écrit sa biographie ?

-        Stendhal : Pour découvrir de qu’il a été, pour se connaître.

-        Jean-Jacques Rousseau : Pour se montrer aux autres tel qu’il est.

-        Simone de Beauvoir : Pour nous raconter un peu de sa vie.

-        Marguerite Duras : Pour nous raconter ses souvenirs.

 

Rédigez les premières lignes de votre autobiographie.

Je suis née le 12 février 1993, dans un hôpital à San Salvador. J’ai vécu mes premières années chez ma grand-mère avec mes parents. J’étais leur premier enfant. Cinq ans après, les choses étaient différentes : nous n’habitions plus chez ma grand-mère ; nous avions notre propre maison et nous n’étions plus trois ; j’avais deux sœurs.

2 octobre 2013

La carte SUBES Un nouveau système pour le

La carte SUBES

Un nouveau système pour le payement du transport collectif a déjà commencé à être utilisé dans quelques villes du Salvador. Au

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lieu de payer avec des billets ou monnaies, on glisse une carte électronique dans des machines installées aux autobus. On peut acheter cette carte dans certains supermarchés et elle peut être rechargée à partir de 20 centimes. Ce système sera bientôt implanté dans les principales villes de San Salvador.

Quelques-uns n’approuvent pas cette carte parce qu’il y a des gens dans notre pays qui ne savent pas lire et ils peuvent trouver difficile de l’utiliser. Un autre argument qu’on donne c’est qu’on peut se faire voler la carte et qu’on aura des problèmes si on n’a pas d’argent pour en acheter une autre dans ce moment-là.

 

 

Le traité de paix

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Le gouvernement salvadorien a créé un traité de paix avec les maras pour qu’ils arrêtent les assassinats entres de différents membres de maras.

Grâce à ce traité, les assassinats ont diminué. Pourtant il y des gens qui ne croient pas au traité parce que les gangsters continuent à se tuer.

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24 septembre 2013

Commentaire d'une pièce de théâtre La semaine

Commentaire d'une pièce de théâtre

La semaine dernière, je suis allée voir une pièce de théâtre appelée « Vertigo 824 » avec la clase de français.  À mon avis,

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c’était une présentation intéressante parce qu’on y a montré certains problèmes sociaux qu’il y a au Salvador ; tels que la délinquance, la violence contre les femmes,  l’infidélité, la corruption et la pauvreté. De nos jours, il y a tellement d’injustice qu’on n’a plus d’espoir pour le futur et quelques-uns pensent que la vie n’a pas de sens. Cependant, je crois qu’il y a encore des gens qui ne pensent pas comme ça et qui sont prêts à aider notre pays et notre planète et ce sont ces gens dont on a besoin pour changer la situation dans laquelle nous vivons

17 septembre 2013

La tolérance Sans la tolérance, point de libre

La tolérance

Sans la tolérancepoint de libre pensée; sans la libre penséepoint de progrès.
Félix Guillaume Marie Bogaerts

Tolérer ne doit pas consister à oublier que ce qu'on tolère ne mérite que de la tolérance. 
 Nicolás Gómez Dávila

Plus le champ de la pensée s'élargitplus la patience et la tolérance augmentent.
 Ostad Elahi

La tolérance est la charité de l'intelligence.

Jules Lemaître

Dans la vie, il n'est rien de plus intolérable, ni en fait de moins toléréque l'intolérance.
 Giacomo, comte Leopardi

Donne à ton esprit l'habitude du doute et à ton cœur celle de la tolérance.
 Georg Christoph Lichtenberg

17 septembre 2013

Usages des noms et des prénoms (France) Chaque

Usages des noms et des prénoms (France)

Chaque français a un ou deux noms de famille (patronymes) et un ou plusieurs prénoms. 

  • Les noms de famille

Depuis 2005, lorsqu’on déclare la naissance d’un enfant à la mairie de son domicile, on peut lui donner comme nom de famille le nom du père, celui de la mère ou les deux noms accolés.

On suit en général l’usage ancien et on choisi le nom du père.

Les conjoints gardent chacun son nom. Sur sa carte de Sécurité sociale ou sur son passeport, une femme garde le nom de sa famille. Mais la encore l’usage traditionnel fait que dans un couple la femme adopte souvent le nom de son conjoint. Elle a alors un nom de famille (celui de son conjoint) et un nom de jeune fille (celui de sa famille). Les deux noms peuvent être accolés : Florence Dupont-Rigaut ou Florence Rigaut-Dupont.

  • L’origine des noms de famille

A l’origine, les noms de famille avaient un sens. Ils désignaient : 

-        l’origine : Pagnol (Espagnol)

-        un lieu : Villeneuve- Duparc

-        l’aspect physique : Petit-Legros

-        le métier : Boulanger-Boucher

-        la parenté : Cousin

-        le nom de baptême : Bernard-Martin

-        une autre caractéristique : Loizeau

Certains noms comportent une particule (de, de la, du, des) : Charles de Villeneuve, Geneviève de Fontenay. La particule indique qu’un ancêtre possédait une terre mais pas forcement qu’il appartenait à la noblesse.

On trouve aujourd’hui beaucoup de noms d’origine étrangère. » Garcia », d’origine espagnole, fait partie des dix noms le plus portés en France.

  • Les prénoms

On peut donner à un enfant un ou plusieurs prénoms mais l’ordre dans lequel on les donne ne peut pas changer. Ceux qui portent un nom ou un prénom gênant peuvent demander à la justice de les modifier. Des personnes qui s’appelaient Cocu, Cochon, Boudin, Cornichon ou Bidet ont pu choisir un autre nom.

 

Usages des noms et des prénoms (El Salvador)

Généralement, chaque salvadorien a deux noms de famille et deux prénoms. Quand un enfant est né on lui donne comme noms de famille le nom du père (premier) et celui de la mère (deuxième). Les hommes mariés gardent ses deux noms. En revanche, les femmes gardent seulement son premier nom suivi de la préposition » de »  et le nom de son mari.

On ne trouve pas beaucoup de noms d’origine étrangère. On a, dans la plupart des cas, des noms d’origine espagnole. On peut changer son nom ou son prénom seulement une fois dans quelques cas particuliers ; par exemple  s’il est gênant,  impropre,  préjudiciable ou étranger. 

 

17 septembre 2013

Souriez, vous êtes surveillés Voilà que la

Souriez, vous êtes surveillés

Voilà que la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, annonce le triplement de cameras de surveillance dans nos villes en mois de trois ans !

Le temps de la surveillance généralisée est venu. Nos ordinateurs sont aussi infiltres de la CIA a l’époque de la guerre froide. Nos voitures sont truffées de puces qui permettent de les localiser à tout moment. Nos téléphones portables sont des délateurs électroniques ambulants. Les couloirs du métro, les rues de nos villes ont vocation à se transformer en studio de cinéma où l’on pourra voir qui tient la main de qui, qui embrasse qui et, évidement, qui arrache le sac à main de qui- si le voleur n’a pas pensé à mettre sa cagoule. Nos cartes bancaires enregistrent chaque retrait d’argent liquide, chaque acte d’achat.

Toutes nos dépenses de santé sont répertoriées. Nos achats sur l’Internet peuvent nourrir de formidables banques de données. Et celui qui saura exploiter vos clics- commande de billets d’avion ou de train, remplissage de votre caddie au e-supermarché, choix de livres ou de spectacles- sera en mesure de connaitre vos besoins et vos désirs. Un rêve de marketing.

Tous surveillés, donc. C’est certes angoissant, mais cela peut s’avérer rassurant. Qui peut refuser que les cyberflics traquent les cyberpedolfiles ? Qui va s’opposer à l’installation de caméras dans la station de métro ou, cet été, a été tue un touriste italien agresse par des voleurs à la tire ? Qui osera demander la suppression du NIR, ce numéro unique qui permet aux ordinateurs du ministre de Finances, les mieux renseignés de France, de traquer les fraudeurs en tout genre ? Il n’y a pas de défense des libertés sans sécurité des citoyens.

Reste qu’aujourd’hui la panoplie high-tech est si riche, grâce aux progrès de l’informatique et de l’électronique, que son utilisation pose un tas de questions philosophiques et éthiques, mais surtout politiques. Chacun peut désormais surveiller ou faire surveiller l’autre. Le mari surveille son épouse ; le patron, ses salariés ; les groupes industriels, leurs concurrents.

Fréderic Ploquin, Marianne, 12/01/2008

Mes réflexions personnelles

À mon avis, la surveillance est nécessaire dans mon pays parce que ces derniers temps, la délinquance y a beaucoup augmenté. En effet, quand on marche dans la rue  ou on prend le transport public on a peur de se faire voler quelque chose ou d’être tué par quelqu’un. Par conséquent,  j’approuve l’installation de caméras dans des endroits spécifiques  car je crois que ça peux aider la police à attraper les délinquants. Parfois, nous nous sentons surveillés ; malheureusement ça c’est le prix qu’il faut payer pour notre sécurité.

15 septembre 2013

Racontez un rêve ou un cauchemar Il y a long

Racontez un rêve ou un cauchemar

Il y a long temps, quand j’étais une petite fille, j’ai rêve que j’étais dans un grand supermarché avec ma mère et que nous y faisions les courses. Il y avait beaucoup de monde et ma mère me donnait tous les sacs d’achats. Comme j’étais petite, je ne pouvais pas marcher avec toutes ses choses et je me suis arrêtée un moment, mais quand j’ai continué, ma mère n’était plus là. Donc, j’ai commencé à pleurer et je me suis réveillée. Je suis allée à la chambre de ma mère et je l’ai embrassé.

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